Benoît Coquelet, un utilisateur TEMO comblé sur l'île des Embiez

Plaisancier sur l'île des Embiez et passionné de voile, Benoît Coquelet navigue régulièrement en Méditerranée. Découvrez le témoignage de cet utilisateur de la première heure du TEMO·450 pour son annexe, une 3D Tender de 2,50 mètres.
4 septembre, 2024 par
Pauline AUTIN
 

L'île des Embiez est une petite île française située dans le Var, à quelques minutes en bateau de Six-Four-les-Plages. Réputée pour sa nature verdoyante, ses criques et ses calanques à l'eau translucide, de nombreux plaisanciers y ont élu domicile. Parmi eux, Benoît Coquelet, heureux propriétaire d'un moteur électrique TEMO·450 depuis plusieurs années et désormais ambassadeur de la marque. 

 
 


Découvrez l'interview !

Pouvez-vous présenter ?

Bonjour, je suis Benoît, je suis plaisancier sur l'île des Embiez où je pratique ma passion de la voile et profite ainsi de cette merveilleuse région qui va de Marseille à la Côte d'Azur avec le voilier et avec mon épouse.


Depuis quand possédez vous un TEMO·450 ?

TEMO·450, je l'ai depuis juin 2021. Peu de temps après, j'ai acquis mon premier bateau. Et je cherchais du matériel pour mon dériveur. C'est un 3D Tender 2m50.

Pourquoi TEMO ? J'avais un bateau de 29 pieds et je n'avais pas beaucoup de place sur mon bateau pour ranger les annexes, les pagaies, etc. et les moteurs.
C'était le premier point. Une question de taille et ensuite l'idée de ne pas 
 prendre un moteur à combustion parce que cela implique un stockage d'essence, cela implique des odeurs et cela implique un poids supplémentaire. Le choix a donc été rapide et à l'époque TEMO présentait une solution qui me convenait parfaitement.


Quand utilisez vous votre TEMO·450 ?

C'est lorsque nous sommes au mouillage que nous pouvons sortir notre annexe et notre TEMO très facilement. Il est facile à installer et à ranger. Pour nous, c'est surtout la facilité d'utilisation qui compte. 
L'autonomie est d'environ une heure, évidemment, en fonction de la façon dont la puissance est utilisée. Pour un ancrage, c'est parfait.
Ensuite, pour la recharge, j'ai une prise 12 V, donc je peux la recharger dans le bateau en temps masqué.

Avez-vous rencontré des difficultés avec ce moteur électrique ? 

Un problème ? Eh bien, par ma faute, oui. Je n'ai pas, comment dire, hiverné mon moteur correctement.
Quand j'ai changé de bateau, j'ai passé 6 mois sans naviguer. Ma batterie a donc souffert. J'ai donc appelé le service client de TEMO et je dois dire que c'était assez incroyable. J'ai eu des gens très réceptifs et qui se sont immédiatement occupés de moi. D'autant plus que c'était juste avant la saison.
Ils sont donc venus récupérer ma batterie à la maison. Ils me l'ont renvoyée une semaine plus tard. C'était impeccable. C'était un problème que j'avais moi-même créé, mais qui a été résolu de manière très efficace.

Du TEMO·450 au TEMO·1000 ? 

Ce qui m'a amené au 450 aujourd'hui peut m'amener au TEMO·1000 demain.
Le TEMO·1000 est plus puissant. Le bateau est un peu plus grand, donc il y a un peu plus de contre-courant. Avec un peu plus de contre-courant, on s'éloigne du bord de la plage ou du bord d'un quai.
Ensuite, j'ai eu l'occasion de voir l'aspect pratique. Un autre point que j'ai trouvé très réussi dans le TEMO·1000, c'est la batterie amovible, qui permet de diviser le poids presque par deux. Même sur des distances raisonnables, cela fonctionne très bien. Nous avons déjà vu des gens manipuler leur moteur thermique pour le mettre sur leur annexe. C'est parfois un défi. Je dirais que le défi est un peu moins compliqué avec le TEMO·1000.


Des projets avec un des moteurs électriques TEMO ?

Nous avons prévu avec ma femme en septembre-octobre de repartir naviguer le long de la côte et probablement de passer en Corse. En Corse il y a des mouillages extraordinaires que je ne connais pas donc nous allons découvrir ensemble et avec notre TEMO·450 ou notre TEMO·1000 nous sommes convaincus que nous allons nous régaler !

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Pauline AUTIN 4 septembre, 2024
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